Hors de prix
Hors de prix, un film de Pierre Salvadori avec Gad Elmaleh et Audrey Tautou. C'est l'histoire d'un Gad, heuu.. d'un barman nommé Jean, timide comme seul Gad peut l'être, avec ses grand yeux bleus et son sourire charmeur. Il tombe amoureux d'Irène, une "croqueuse" d'hommes riches, incarnée par Audrey Tatou. Bien sûr, lorsque celle-ci découvre qu'il n'est rien, elle le jette. Pour qu'elle lui consacre encore un peu de temps, il va dépenser tout ce qu'il a jusqu'à devenir lui aussi un gigolo "homme de compagnie" dans le même hôtel d'Irène. Elle va alors lui prodiguer nombre de conseils et se rapprocher de lui.
Tourné sur la côte d'Azur, Hors de prix nous offre de magnifiques décors dans des hôtels de luxe et des restaurants chics qui font rêver, aussi peu vénale que l'on soit. Sans tomber dans le mélo, Audrey campe une fille un peu perdue, un peu cynique, presque prête à tout pour s'en sortir, pour être à l'abri pour le restant de ses jours. Pour moi, elle est pour toujours une Amélie Poulain, ce côté enfant, cette moue boudeuse. Plus enfant que femme, quelqu'un devrait quand même lui dire de manger un peu parce que les os du thorax apparents, c'est pas hyper sexe, même sous une robe Chanel !
On réfléchit alors sur ce monde futile, où une part de caviar est à 250 euros, où des chaussures à 650 euros ne sont pas forcément belles et on se demande si un tel monde vaut le coup, à n'importe quel prix. Si les personnages de Gad et d'Audrey vendent leur corps et peut-être leur âmes, on s'interroge sur ce que les "vieux riches" qui les entretiennent peuvent bien se raconter pour se leurrer à ce point. La jeunesse, l'amour et même la compagnie ne s'achètent pas, mais certain semblent prêts à tout pour se donner l'illusion...
L'argent ne fait pas le bonheur mais il semble grandement y contribuer.. jusqu'à ce que l'on se demande ce qui compte vraiment dans la vie...
Tourné sur la côte d'Azur, Hors de prix nous offre de magnifiques décors dans des hôtels de luxe et des restaurants chics qui font rêver, aussi peu vénale que l'on soit. Sans tomber dans le mélo, Audrey campe une fille un peu perdue, un peu cynique, presque prête à tout pour s'en sortir, pour être à l'abri pour le restant de ses jours. Pour moi, elle est pour toujours une Amélie Poulain, ce côté enfant, cette moue boudeuse. Plus enfant que femme, quelqu'un devrait quand même lui dire de manger un peu parce que les os du thorax apparents, c'est pas hyper sexe, même sous une robe Chanel !
On réfléchit alors sur ce monde futile, où une part de caviar est à 250 euros, où des chaussures à 650 euros ne sont pas forcément belles et on se demande si un tel monde vaut le coup, à n'importe quel prix. Si les personnages de Gad et d'Audrey vendent leur corps et peut-être leur âmes, on s'interroge sur ce que les "vieux riches" qui les entretiennent peuvent bien se raconter pour se leurrer à ce point. La jeunesse, l'amour et même la compagnie ne s'achètent pas, mais certain semblent prêts à tout pour se donner l'illusion...
L'argent ne fait pas le bonheur mais il semble grandement y contribuer.. jusqu'à ce que l'on se demande ce qui compte vraiment dans la vie...